Navrée du retard pour ce chapitre, mais je suis infirmière est beaucoup débordée au travail, ce chapitre sera plus long que les autres afin de rattrapez mon manque d'écriture. Prenez soins de vous !

Depuis l'accident d'avion Mike et Connie étaient submergés par le travail. Connie avait une affaire de meurtre qui semblait très simple au début, puis a chaque fois qu'elle et Dekker pensaient qu'ils arrivaient enfin au bout, une autre piste s'ouvrait.

Mike avait toujours cette affaire de meurtre multiples, et vient une autre affaire un juge avait été victime d'une tentative de meurtre, et un greffier avait été assassiné.

Ce qui fait ce mois-ci, Connie et lui ne s'étaient pas vu. Seul le téléphone, mails et sms leurs permettaient d'échanger de leurs deux océans.

Mike avait convoqué Hélène l'amie de Elo?se la principale suspecte dans le meurtre de ses frères et s?urs.

Il a appris que Elo?se semblait faire exprès de mettre son frère et sa s?ur en danger, qu'elle avait un petit ami, un gadjo, qui était parfois violent avec elle. Mais elle aimait sincèrement. Quand elle a parlé à son père de vouloir leur présenter, et que ses parents ont refusé, ce jour là elle leur a promis qu'ils souffriront autant qu'elle.

Mike transmis cette information a Lupo et Bernard, et de rechercher se Charles Cooper. Ensuite il prit du temps pour consulter ses messages, mais de nouvelles de Connie, en même temps il est 13h donc il est 10h à LA elle doit être en pleine réunion avec Dekker.

Il en profite pour aller prendre un café, quand son téléphone sonna

Bonjour vous êtes bien Mr Cutter ?

Oui qui le demande ?

Je suis Bo?njak Nanosh, le chef de clan, vous devez stopper vos poursuites, personnes ne doit savoir que la fille des Datori a voulu épouser un gadjo, en tant que gitan, nous sommes votre sang, votre famille

Ecoutez monsieur, je n'ai pas l'attention de laisser tomber cette affaire, ces deux enfants mérite que leur criminel soit punis. En ce qui concerne la famille gitane, il y a bien longtemps que je n'en fais plus parti !

Mike était énervé, la famille gitane, son père le battait jour et nuit jusqu'à ses 10 ans, sa mère c'est remariée rapidement pour rester dans le clan, mais son beau-père était encore pire. Du coup sa mère l'a mis en pensionnat et a l'?ge de 12 ans il n'avait plus jamais entendu parler de sa famille. Il pense à ces deux petites victimes 5 et 14 ans ne sont pas des ?ges pour mourir. D'ailleurs y a-t-il un bon ?ge ? Il prenait son café, et pensait à lui et Connie. Il y avait si longtemps qu'il n'avait plus la serrer dans ses bras, l'embrasser, l'aimer…il lui écrit un mail plein de passion ? Mon amour, ma vie,

Je t'écris aujourd'hui pour te dire combien je suis heureux de partager ma vie avec toi. Je ne suis pas un pro avec les mots, je ne suis pas Baudelaire ni Victor Hugo mais je t'aime comme un fou. Voilà un peu plus de 6 mois que nous sommes ensemble et je n'ai jamais été si bien de toute ma vie ! Avec toi, tout me para?t simple, je ne me pose aucune question. J'ai de la chance d'être avec toi, tu es tellement facile à vivre en plus. Moi qui ai toujours eu l'habitude d'être avec des femmes qui me posaient toujours mille questions, des femmes qui voulaient que je change… Toi, tu me fais sentir important tout le temps, peu importe ma fa?on d'agir, je vois toujours l'amour dans tes yeux. Tu ne me tiens pas rigueur quand je r?le, tu es toujours souriante, toujours bienveillante. Je t'aime tellement que les mots me manquent, que j'aimerai déplacer Los-Angeles à c?té de New-York. Tu me manques mon amour, Mike. ?

Les inspecteurs l'appellent pour lui dire qu'ils ont Cooper. Mike se précipite au 2.7 pour insister à l'interrogatoire.

D'abord Lupo et Bernard débutent les questions :

Alors Mr Cooper qu'avez-vous a nous dire sur le meurtre de ces deux enfants (demande Bernard)

Rien, je n'ai rien à dire, ils sont fous dans cette famille

Tellement fou que vous sortiez avec Elo?se la grande s?ur des victimes (dit Lupo)

Elo?se et moi c'était terminé dés qu'elle m'a dit que son père ne voulait pas qu'on sorte ensemble, deux gitans sont venus m'expliquer que je ne devais plus approcher de sa famille, et croyez moi ils étaient plut?t persuasifs

Cutter arrivait et écoutait derrière la vitre, cette affaire était difficile pour lui, tous ses souvenirs d'enfance remontaient à la surface, il avait même l'impression de ressentir le cuir de la ceinture de son père sur son corps, mais ce Cooper semblait sincère, il demanda aux inspecteurs de le rel?cher et de le suivre pour voire s'il ne les conduira pas à Hélène.

De son c?té Connie découvre le message de Mike, elle sourit car jamais elle n'aurait pensé que Mike pouvait être aussi touchant, l'homme et très différent du procureur, même si le procureur l'abord séduite par son talent en salle d'audience, par son physique et ensuite elle a découvert l'homme, celui qu'elle aimait. Comme elle devait se rendre au tribunal elle lui répondit rapidement ? Mon doux rêveur, je t'aime chaque heure, chaque minute, et chaque seconde. Tu me manque aussi, j'espère qu'on pourra se parler ce soir, je t'embrasse la ou tu sais. Connie ?

Mike regarde l'heure 23 h, il appels Connie, mais pas de réponse. Surement un repas de famille qui s'éternise. Il décide de rentrer chez lui, et il appellera Connie de chez lui.

- Bonjour Mike, comment vas-tu ?

En dehors du fait que tu me manque terriblement cela va plut?t bien, l'affaire du juge est à l'arrêt aucune piste. L'affaire des deux petits gitans se débloque doucement, et toi ?

Nous arrivons au bout de nos affaires, j'ai tellement aimé ton message, tu vois se soir je voudrai être dans tes bras, me blottir contre toi. J'ai tellement h?te de pouvoir me libérer pour venir te voir.

Et moi donc, en plus il neige depuis ce matin.

Humm cela me donne l'idée d'un bain chaud avec toi, mince je te dois te laisser ma mère a besoin de moi. Je t'aime mon doux rêveur

Je t'aime ma Connie

Le téléphone réveil Mike à 4 heures du matin, il pensa en premier lieu à Connie et sa mère, mais c'était Lupo, ils avaient retrouvé Helene dans un motel sordide. La jeune fille était paniquée et terrorisée.

Alors on jour la peureuse or que vous avez tué deux gamins

Non, non je n'ai pas tué mon frère et ma s?ur, je me suis enfuie par la fenêtre se sont mes parents

Quoi ! maintenant tu veux nous faire croire que se sont tes parents

Oui ils sont persuadés que j'ai Sali la maison avec Charles, d'ailleurs des hommes du clan l'ont menacé pour plus que nous nous fréquentions, c'est pour cela que je me cache. D'ailleurs ils ont même prévu de buter le procureur gitan, enfin gadjo, car il n'a plus rien d'un gitano

Qu'est-ce que tu racontes, ils veulent tuer le procureur

Oui j'vous le jure

Bernard et Lupo préviennent rapidement Mc Coy et Anita Van Buren, sur les menaces que vient de rapporter Hélène.

Etes vous sur que se ne sont pas des menaces en l'air pour nous détourner de la vraie coupable

Anita dit jack, nous ne pouvons pas prendre de risque, mettez Mike sous protection, d'ailleurs il est où ? il ne devait pas vous rejoindre au 2.7 ?

Si répond Bernard, je vais le rappeler

Ok tenez moi au courant, je vais au bureau.

Ce qu'il craignait ce confirme, Mike n'avait jamais atteint le 2.7, ni le bureau, et pas de trace chez lui. Il revêtit son tempérament de procureur adjoint pour aller interroger la gitane et son copain.

Ecoutez ce procureur est un gitan pourquoi votre clan lui ferai du mal, d'ailleurs il ne fait que son travail, alors dites-moi où il est ? Maintenant, et si vous me dites la vérité nous verrons pour une réduction de peine !

Mais j'ai tué personne, ni mon frère, ni ma s?ur, je suis une victime vivante, pour votre procureur en poussant ses recherches il a sali la maison de mes parents, et salit mon clan

Tes parents ! Ton clan ! tu les protège, mais ils veulent te tuer je croyais alors qui croire

Anita demandé une expertise psychiatrique, et poursuivez les recherches, pas de fuites dans la presse, il est 6h, Connie ne doit pas apprendre cela par la presse. Anita acquiesce et mis tous le 2.7 sur la disparition de Mike.

Voilà pour ce chapitre j'espère avoir le temps vous faire le prochain rapidement si mister COVID m'en laisse le temps. Prudence est mère de s?reté alors attention à vous !